Au milieu des lits de pierre J’imaginais chaque vie cachée sous la terre Chacun porte en lui des milliers d’histoires Les lendemains on oublie mais elles hantent nos couloirs
Elles reviennent comme un éclair Des visites-surprise qui nous virent à l’envers Une galaxie d’émotions ensevelies D’un seul coup de ses mains étrangle notre esprit
Endormies dans l'infinité…
Plongé dans une absolue beauté Ou secoué par un ouragan d’obscurité Le cœur réagit de bonheur ou de rage Tant de mémoires accrochées à chacune de nos pages
Endormies dans l'infinité…
Certaines images sans fin nous pourchassent À travers le temps rien ne les efface Elles ont marqué notre vie souvent même davantage Une chose est sûre nul ne les tient en cage Nul ne les tient en cage
Endormies dans l'infinité… Endormies dans l'infinité…
Comme dans les rêves... Comme, comme dans les rêves... Comme, comme dans les rêves... Comme, comme dans les rêves... Comme dans les rêves... Les rêves... |